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Test du micro cravate iRig Mic Lav de chez IK Multimedia

Il y a quelques années, il était difficile d’imaginer que l’on puisse venir plugger un micro cravate directement sur smartphone. Cela était parfois possible mais très onéreux et nécessitait un certain nombre d’adaptateurs. La promesse de l’iRig Mic Lav, c’est donc d’offrir un produit qualitatif et facile à utiliser. Alors, la promesse est-elle tenue ?

Qualité sonore
Pour ce test, je n’ai pas pu comparer la qualité sonore du micro avec un micro Shure ou encore un micro cravate Sennheiser. Toutefois, après quelques mois d’utilisation dans le cadre de vlogs, de podcasts et de reportages en mode mobile journalism, j’ai eu l’occasion de me faire une idée concrète de la qualité du produit. Selon moi, le iRig fait son travail, c’est à dire qu’il dispose d’une qualité sonore suffisamment qualitative à condition de savoir optimiser ses conditions d’utilisation. En effet, en télé par exemple, nous avons tendance à positionner le micro cravate à proximité du col de l’utilisateur. Hors, dans cette position, le son du iRig Mic Lav va avoir tendance à saturer rapidement. L’astuce consiste donc à le placer à une plus grande distance de la bouche, c’est à dire au milieu du torse. En revanche, si vous disposez d’une application qui vous permet de contrôler le gain audio, vous aurez juste à bien optimiser les réglages avant l’enregistrement et à bien surveiller les niveaux pendant celui ci.

Finition du produit
Le micro en lui même est plutôt bien pensé : ergonomique, facile à clipser. Un bémol toutefois sur la longueur du fil qui n’est parfois pas suffisante si vous souhaitez vous filmer en plaçant votre smartphone sur un trépied. Autre point intéressant, l’Irig Mic lav vous propose une sortie casque, convertible en entrée pour chaîner un deuxième micro iRig Mic Lav ’et la possibilité de chaîner 2 micros est très utile en configuration d’interview. Malheureusement, lorsque les 2 micros sont chaînés, vous ne pouvez plus avoir de retour audio. Cela est vraiment dommage car c’est lorsque vous êtes en configuration d’interview par exemple, qu’il est primordial de pouvoir vérifier que tout fonctionne bien, car souvent nous n’avons pas l’occasion de recommencer une interview une deuxième fois.

Enregistrement
 
 
 
Qui dit micro pour smartphones dit application mobile. Hors, j’ai été particulièrement déçu de l’application iRig Recoder car je trouve qu’elle manque d’ergonomie et de fonctionnalités. Certes, le micro peut être utilisé avec n’importe quelle application, mais étant donné que IK Multimedia s’est positionné en tant que spécialiste du matériel audio et vidéo pour smartphones, j’aurais aimé une application pensée pour l’enregistrement et la production de contenu audio. Du coup aujourd’hui, je préfère utiliser l’application du fabricant concurrent et parfois l’application dictaphone pré-installée sur l’Iphone.

Conclusion
Le iRig Mic Lav est un produit qui est aujourd’hui pour moi indispensable et qui fait partie intégrante de mon kit de vidéaste en mobilité. Même si la qualité sonore n’est pas équivalente à un micro cravate de chez Sennheiser, question qualité/prix il est sûrement un des plus intéressants que l’on puisse trouver sur le marché. Attention, ne vous méprenez pas sur le terme qualité/prix en pensant qu’il s’agit d’un micro bas de gamme. Disons que pour ce genre de matériel, il est plus qu’abordable au vu du résultat. Bien sûr, il existe des micros cravate made in china moins chers (à partir de 10€), mais je ne peux vous les recommander aujourd’hui. Je ne les ai pas testés et je doute de leur optimisation pour un usage avec un smartphone. Vous l’aurez compris, je vous conseille donc le iRig Mic Lav que ce soit en micro individuel ou en pack duo.

Lien vers les produits : 

iRig Mic LAV

iRig Mic Lav pack Duo

La nécessité de s’éloigner des gens nocifs

Ce billet va être un peu particulier puisqu’il va traiter de la nécessité de s’éloigner des gens toxiques dans ta vie.

Nous avons tous connu ce type de personnes et il est souvent difficile de s’en détacher pour la simple et bonne raison qu’ils savent tirer sur la corde sensible.
En effet, ils arriveront avec facilité à te faire culpabiliser et à te faire passer pour un monstre auprès de vos relations communes. Le problème c’est qu’au fond, si tu es sensible, tu craques et tu renonces à agir. Qu’il fassent partie de ton cercle familial, amical ou professionnel, ces personnes sont les sangsues à ton bonheur et à terme, les conséquences pour toi peuvent être dramatiques.
Comme tout parasite, il est souvent difficile de s’en débarrasser par peur de blesser la personne ou de passer pour le connard de service.
Pourtant parfois, il faut juste arrêter d’être trop gentil et être un connard mec sincère.
Pourquoi ? Parce que même si toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, il est important d’être sincère avec soi-même. De mon point de vue (purement subjectif), la seule question à te poser c’est : “Ai-je fait le nécessaire pour aider cette personne ?” “Suis-je en accord avec mes valeurs ?” “Si oui, c’est alors que je ne peux tout simplement rien faire de plus et il est donc nécessaire de prendre mes distances”.

La vérité, c’est que si vous ne faites pas ça, vous serez juste une victime collatérale des problèmes de cette personne et vous sombrerez ensemble.
Une autre vérité, c’est qu’en prenant tes distances, tu lui rends potentiellement service. Cela peut avoir une réaction positive sur elle, la poussant à agir pour se sortir de sa situation. Puis, il est également possible que tu ne sois pas la bonne personne pour lui venir en aide et le fait de prendre tes distances lui permettra de rencontrer la personne qui changera sa vie.
J’ai été régulièrement confronté dans ma vie à ce type de personnes, que ce soit dans le monde professionnel ou dans ma vie personnelle et ce que je peux dire, c’est que malheureusement, malgré le fait que tu sois particulièrement bienveillant et patient, tu te rendras compte que ces personnes répètent un schéma en boucle et que temps qu’elles n’auront pas travaillé sur elles-même, tout ce que tu feras en les aidant à chaque fois qu’elles le demandent s’apparentera à donner un Doliprane à un patient souffrant du cancer. Cela ne lui fera pas de mal, mais ça ne l’aidera pas à guérir non plus.

Alors que faire ?
 
Solution numéro 1 : faire le tri, appliquer la règle 20/80 dans les relations en règle générale. Accorde de ton temps à ceux que tu estimes et qui sont bénéfiques pour toi.
Solution numéro 2 : Dites-lui ce que vous ressentez avec sincérité et affirmez votre position, ne cédez surtout pas à toute tentative de manipulation.
 
Solution numéro 3 : si vous ne souhaitez pas vous confronter à la personne directement, utilisez des moyens de communication autres, de préférence un mail ou un courrier. Essayez d’éviter les SMS et les messageries instantanées car la personne aurait plus de facilités à vous répondre et vous pourriez, au fil de la discussion, céder. Dans votre courrier, n’hésitez pas à faire part des bons sentiments que vous avez envers la personne : ex. : “Sache que tu es quelqu’un qui a compté” ou “Soit certain de mon amitié envers toi”. Puis, parlez de ce qui motive cette prise de distance.
 
“Aujourd’hui je ressens le besoin de prendre de la distance et de recentrer sur ma vie, j’ai tout simplement besoin de me ressourcer. Sache que j’ai sincèrement fait au mieux pour t’aider… Je ne pense plus être la personne qui puisse te venir en aide, etc.
 
Enfin, n’hésitez pas à conclure avec sincérité, tout en souhaitant le meilleur.
 

: “Je te remercie pour cette amitié, et bien évidemment, je souhaite que les choses s’arrangent pour toi, disons tout simplement que je te souhaite le meilleur pour l’avenir.”

 
 
 
À noter que cela fonctionne également dans un contexte professionnel : “Je vous remercie de nous avoir fait confiance dans le cadre de ce partenariat” etc.
 
 
 
Ou si c’est votre employeur :
 
“Je vous remercie de m’avoir fait confiance, en m’offrant cet emploi…”
 
 
 
Attention, il est vraiment préférable de ne pas exprimer de mauvais sentiments envers la personne ou l’entité à laquelle vous vous adressez, le mieux étant d’essayer d’exprimer votre souhait de prendre de la distance tout en pensant aux bons moments que vous avez pu partager. Cela vous aidera à prendre de la distance sereinement et peut vous éviter de faire face à un malaise si vous recroisez la personne en question.

Dernière chose importante avant de conclure ce billet, sachez que vous êtes peut-être vous même une sangsue pour un collègue, votre fils ou un ami. Essayez alors de ne pas envahir l’espace vital et la sérénité des gens que vous côtoyez. Si quelqu’un vous le reproche, ne réagissez pas mal et essayez de prendre un peu de distance. C’est pour cela que j’insiste sur le fait de rester courtois et de ne jamais mettre fin à une relation de manière conflictuelle. Les gens ne font pas forcément exprès de vous envahir. En revanche, une fois que vous avez décidé que vous aviez besoin d’espace, agissez et ne faites surtout pas marche arrière.
Ayant lu dernièrement le récit biographique des aventures de Mike Horn et de son ascension des plus hautes montagnes du monde, une chose m’a surpris. Mike Horn expliquait qu’à plusieurs reprises lors de ses ascensions, il avait croisé des alpinistes à bout de forces, condamnés à mourir sur les hauteurs de la montagne. Quel a été sa réaction à chaque fois ? “Puis-je l’aider sans risquer ma vie ?”

Vouloir toucher les étoiles, by Mike Horn

Vouloir toucher les étoiles
À travers “Vouloir toucher les étoiles”, Mike Horn nous offre le récit de l’un des plus gros challenges de sa vie : celui de l’ascension des montagnes les plus hautes au monde.
Depuis quelques temps, je m’intéresse passionnément à ces explorateurs et aventuriers de l’impossible que sont Mike Horn, Ed Stanford ou encore Jean-Louis Étienne.
La question qui vous vient alors à l’esprit et pourquoi et surtout, quel rapport avec les thématiques que je traite habituellement sur ce blog ?
En premier lieu, je dirais que Mike Horn et ses confrères démontrent que rien n’est impossible, forçant l’admiration. En second lieu, bien qu’aventuriers ou sportifs de l’extrême, ce sont à mes yeux avant tout des entrepreneurs à l’instar d’un Steve Jobs. En effet ils entreprennent à leur façon même s’ils ont des objectifs certes bien différents des startuppers de la Silicon Valley.
Ce qui est intéressant dans ce récit c’est de comprendre comment devient-on un Mike Horn. Qu’est ce qui peut expliquer qu’un homme traverse les pôles, fasse l’ascension des plus hautes montagnes de la planète au péril de sa vie, est-ce de l’insouciance ou une drogue ? Ce qui est sûr, c’est que par le biais de ce récit on apprend que Mike Horn depuis son enfance a toujours éprouvé le besoin de découvrir le monde et d’être libre.
Je pense également qu’il a à s’épanouir grâce à son éducation suffisamment strictes pour le guider sur le droit chemin, tout en lui laissant une certaine liberté qui fut responsabilisante pour lui. (???) D’ailleurs, il y a certain passage de ce livre qui montre à quel point son père avait une façon atypique et admirable d’éduquer son fils.
 

Extrait 1 La liberté

Extrait 2 La scène du vélo

Un homme comme les autres
 
Alors jeune adulte, Mike connaîtra deux passages déterminants qui lui permettront de prendre conscience de certaines choses.
La première est la mort de son père, qui pour lui était son héros, sa source d’inspiration. Le second passage correspond à son intégration des forces spéciales sud africaines pour son service militaire obligatoire. Pendant cette période (l’Afrique du Sud était alors en pleine guerre contre l’Angola), il apprendra à survivre, à se dépasser mais également des savoir faire qui lui seront utiles dans le cadre des ses explorations futures (pistage d’un animal, ou d’un ennemi).
Ces deux événements ont un point commun : ils ont confronté Mike Horn à la mort, que ce soit celle de son père mais également à celle de certain de ses compagnons d’armes. Ces événements sont déterminants, ils lui ont permis de comprendre qu’il devait impérativement suivre ses rêves, on n’a qu’une seule vie et elle est courte.
 

Un entrepreneur comme les autres ?
Après l’armée, Mike Horn est revenu sur les bancs de l’école pour décrocher un diplôme de commerce et a rejoint le business de son oncle dans le commerce des fruits et légumes. Cela lui a permis d’avoir un poste avec des responsabilités importantes tout en lui faisant gagner de l’argent.
Pourtant, le manque de liberté et l’idée de passer sa vie dépendant de choses qui n’ont que peu d’importance quand on n’est pas un matérialiste vont le forcer à prendre une des décisions qui est certainement l’une des plus courageuses quand on possède tout : tout abandonner, faire un “reset” de sa vie.
 

Entreprendre avec passion
Je vous parlais plus haut dans cette critique que Mike Horn est un entrepreneur comme les autres. Bien que le livre soit peu développé sur comment Mike Horn a réussi à atteindre une indépendance financière tout en vivant sa passion. Certains passages évoquent notamment son lien avec ses sponsors, ou comment il a levé des fonds pour un projet caritatif qui avait pour but de permettre à des adolescents de toutes nationalités d’être sensibilisés à l’écologie, tout en découvrant des lieux hors du commun.
À travers ce livre, on comprend que aussi que Mike Horn ne s’intéresse pas lui-même à sa popularité et ne gère pas directement les aspects liés à sa communication, ses sponsors et un cercle restreint de ses proches s’en occupent pour lui.
C’est pour cela que Mike Horn est aujourd’hui un des aventuriers les plus connus de la planète, ses exploits ne suffisent pas s’il y a personne pour en parler. (???)
 
 
 
 

 
 
Pour résumer

À travers “Vouloir toucher les étoiles”, Mike Horn nous partage son aventure de l’ascension des plus hautes montagnes. Les moments qui ne concernent pas les ascensions à proprement parler (enfance, carrière, projets annexes, notoriété, etc.) sont les moments que j’ai personnellement préféré.

Toutefois, les récits des ascensions, bien que par moments répétitifs, sont parfois poignants et nous dévoilent la réalité de ses expéditions. Depuis que Mike Horn passe à la télé, on nous laisse croire qu’il s’agit de survie. En réalité, il s’agit d’aventure soft.
À travers ce livre, nous découvrons la réalité de ses expéditions qui sont souvent fatales pour ces aventuriers de l’extrême, plusieurs protagonistes et confrères de Mike Horn ont connu la mort dans l’une de ascensions. J’ai la certitude que la philosophie de Mike Horn, la façon dont il appréhende le risque et sa façon de vivre passionnément, ne peuvent être qu’inspirantes et pleines de leçons pour les entrepreneurs que nous sommes.

Biographie de l’auteur
Né en 1966 à Johannesburg, Mike Horn obtient un diplôme de science du mouvement humain à l’université de Stellenbosch. Il quitte l’Afrique du Sud en 1990, pour voyager en Europe où il travaille d’abord en tant qu’instructeur de ski et guide de rafting et canyoning. Depuis, il multiplie les exploits inédits. Il a descendu l’Amazone à la nage, a fait le tour du monde en suivant la ligne de l’Équateur, a marché le long du cercle polaire arctique, et a bravé la nuit hivernale pour rejoindre le Pôle Nord. Il raconte ces aventures dans ses livres : Latitude Zéro (2001), Conquérant de l’impossible (2005) et Objectif : Pôle Nord de nuit (2007), tous parus chez XO Éditions. Il est parti en 2008 pour un tour du monde qui lui fera traverser tous les continents en quatre ans, sans aucun moyen de transport motorisé. Mike Horn est père de deux filles.
 
 
 

 

 
 On ne grimpe qu’une fois la montagne de la vie. Il faut savoir vivre ses rêves.  »
Mike Horn est un aventurier de l’extrême connu dans le monde entier pour repousser les limites du possible. Il a descendu l’Amazone, suivi la ligne de l’équateur, traversé la longue nuit polaire. Il a marché sur la glace, parcouru le désert, descendu des rapides, frayé son chemin dans la jungle.

Jusqu’à ce pari fou : gravir, avec trois amis, quatre 8 000 mètres à la suite dans l’Himalaya. Sans oxygène, sans cordes, en  » style alpin  » le plus pur, à la seule force de la volonté…
Pour la première fois, ce conquérant de l’impossible se dévoile. Il nous parle de ses motivations profondes, de ses inspirations et de Cathy, sa femme, sa croix du Sud, récemment emportée par la maladie et dont l’esprit accompagne chacun de ses pas.

 

 

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Le Meizu pro 7 est-il le meilleur smartphone pour le mobile journalism ?

La firme chinoise Meizu annonce son nouveau smartphone Meizu Pro 7, premier smartphone haut de gamme à intégrer 2 écrans couleurs.
Si j’ai souhaité vous parler du dernier né du fabricant chinois Meizu, c’est bien évidemment parce qu’il propose 2 écrans couleurs. Le premier écran est l’écran principal du téléphone, il mesure 5, 2 pouces et dispose de la technologie Super Amoled avec une résolution de 1920×1080 pixels. Le second écran, situé au dos de l’appareil, mesure quant à lui 1,9 pouces et est équipé de la technologie Amoled pour une résolution de 240×536.
Le premier écran, avec sa résolution plus que correcte et son écran de bonne facture, assurera un bon confort pour tous vos divertissements, et bien évidemment pour effectuer quelques tâches professionnelles. Grâce au processeur Helio P25 et ses 4 GB de RAM, on  peut imaginer que monter des vidéos directement sur le smartphone devrait s’envisager.

Le second écran
Le second écran sert, entre autre, à prévenir l’utilisateur quand il reçoit une notification. Il permet également de consulter l’heure ou la météo, mais ses applications restent à priori encore peu développées.
En ce qui me concerne, cela a peu d’importance. Ce qui m’intéresse, c’est qu’il permet de prendre des selfies avec le capteur arrière du téléphone, généralement de meilleure qualité que celui en façade. La question est donc de savoir si le second écran fonctionne également en mode vidéo. Si c’est le cas, alors nous venons de trouver un excellent produit pour les  journalistes MOJO et autres vidéastes adeptes de mobilité. Malheureusement, les smartphones sous Android sont généralement moins stables pour les fonctions d’editing de vidéos, cela s’explique par le fait qu’une application développée pour un smartphone Android est déployée généralement sur une grande variété de smartphones (Android) d’entrée, de moyenne et de haut de gamme.

Les capteurs photo/vidéo
Le Pro 7 est équipé de deux capteurs photo Sony IMX386 (12 MP). À l’instar du Huawei P10 ou encore du Galaxy Note 8, le Pro 7 dispose d’un capteur couleur et d’un second capteur noir et blanc.La combinaison de ces capteurs permettra de prendre des photos avec un effet Bokeh (effet de flou en arrière plan) ou de véritables photos directement en noir et blanc. À noter qu’il est également équipé d’un capteur en façade de 16 MP.
Le Meizu Pro 7 sera potentiellement un excellent smartphone pour le vlogging et les vidéos lives Facebook par exemple. Toutefois, en attendant que je le teste, je ne peux pas vous confirmer que l’écran arrière fonctionne en mode retour vidéo lors d’une diffusion en live.
Par le biais de ce second écran, Meizu offre de nouvelles possibilités qui pourraient inspirer les constructeurs de smartphones et je l’espère, potentiellement Apple. L’autre seule solution qui nous permettrait de disposer d’un smartphone idéal pour les MOJO serait de les équiper d’un capteur photo en façade aussi puissant que les capteurs principaux se trouvant généralement au dos.
Affaire à suivre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Dossier Just do it, Chapitre 4 : Que ferais-tu si tu n’avais pas peur ?

Rationaliser sa peur pour mieux la contrôler. Il est normal d’avoir peur, mais n’oublie pas que nous avons appris à avoir peur. Nous sommes passés du stade pendant notre enfance de l’insouciance à celui de la conscience du risque. La peur n’est qu’un mécanisme irrationnel ayant pour but de nous protéger. Elle est l’objet d’une partie animale qui subsiste en nous. Attention, je ne dis pas que la peur est inutile. Je dis simplement que nous avons développé trop de peurs et que souvent, nous avons tendance à développer de nouvelles craintes au fur et à mesure que nous prenons de l’âge. Cela est notamment dû au poid des responsabilités qui nous incombent.

La peur est souvent irrationnelle. Si tu couches sur papier les risques réels, si jamais tu te décidais à aller jusqu’au bout de tes idées, tu te rendrais compte que souvent nous exagérons le risque et qu’aucune des conséquences n’est irréversible.
Bien évidemment, je ne suis pas là à te dire de quitter ton travail, ton logement et de tout parier sur l’écriture de ton roman. Je ne suis pas en train de te dire “Lance ta propre émission !” si tu es trop timide pour répondre au simple bonjour de ta boulangère. Non, l’idée ici est de définir quel est ton objectif et dessiner une sorte de route avec des points relais jusqu’à celui-ci.
Si tu souhaites devenir photographe globe-trotter à plein temps mais que tu ne connais rien à la photo, essaye de déterminer les lacunes qui empêcheraient de le faire. Par exemple, je suis nul en anglais, je ne connais rien à la photo, j’ai peur de voyager seul, etc.

Tes points relais qui dessinent la route vers ton objectif seront surement alors :

Prendre des cours d’anglais et essayer d’introduire cette langue dans mon quotidien (ebook, podcasts, film en vo etc..)
Me procurer un appareil photo, m’inscrire à des mini stages, m’inscrire à des cours ou encore apprendre avec des tutoriels la photographie sur internet
Chercher des groupe Facebook, des forums sur les globe-trotters, faire des mini séjours en France pour s’habituer et participer à des événements communautaires sur cette thématique

Le plus important est de se créer une map pour toujours avoir en tête les différentes étapes vers ton objectif final.
Deuxième chose : te fixer des objectifs cruciaux mais simples à accomplir. Bien évidemment, si tu travaille et que tu veux apprendre l’anglais en 1 mois, cela va être compliqué. De la même façon si tu te fixes comme objectifs de savoir tenir une conversation en anglais dans 1 an, mais que tu ne définis pas comment, de manière quotidienne ou hebdomadaire, tu vas procéder pour atteindre cet objectif. Le fait que l’objectif soit lointain va t’amener à procrastiner et tu finiras par au final le reporter indéfiniment ou l’abandonner.

Dans le même état d’esprit, voici d’autres exemples :

Tu souhaites écrire un roman : fixe toi comme objectif d’écrire une page par jour
Tu souhaites lancer ton blog : écris 1 à 2 articles par semaine
Tu veux vaincre ta timidité : commence à enregistrer un podcast audio hebdomadaire où tu parles de ce que tu veux et diffuse le sans le retoucher.

J’aimerais revenir sur l’une des peurs majeures citées plus haut dans ce dossier, c’est celle de recevoir des critiques négatives. Première chose à savoir, c’est que souvent ceux qui formulent des critiques de ce type là sont des personnes qui sont soumises aux mêmes peurs que toi et c’est ce qui les empêchent elles-mêmes d’accomplir leurs rêves. Ensuite, un créateur ou un entrepreneur préférera toujours t’encourager ou te formuler une critique constructive afin de t’améliorer. Mais rappelle toi, ce n’est pas parce qu’on te dit que c’est nul que ça l’est vraiment. Regarde les émission du type ONPC sur France 2 et tu verras que même les plus grands artistes et intellectuels font rarement l’unanimité. Sache que plus tu auras d’audience et plus tu auras de critiques, cela va de paire. Donc fort de ce constat, autant s’habituer à ne pas trop les prendre en compte.
Comme nous arrivons à la conclusion de ce dossier, je me permets de me répéter un peu pour te dire vraiment que ce qui compte, c’est quel est ton leitmotiv. Si tu souhaites faire ton court métrage, fais le peu importe les critiques. Si tu souhaites écrire ton roman, fais le pareillement.
Surtout, n’écoute pas les gens qui te disent que c’est impossible. Si on avait écouté ce genre de personnes, les voitures n’existeraient pas, internet non plus, nous n’aurions jamais envoyé des hommes sur la Lune. Ces personnes ne sont pas méchantes, elle transposent juste leurs propres angoisses sur toi. Petit conseil également, entoure toi de créatifs, d’entrepreneurs, de rebelles et d’audacieux car leur enthousiasme et leur positivité pourrait déteindre sur toi.
N’espère pas devenir une superstar. Si par chance cela arrivait, tant mieux mais fais avant tout les choses pour toi et parce que cela te rend heureux.
Attention également à ne pas te prostituer (faire du contenu sans valeur ajoutée) pour satisfaire ton audience, cela n’en vaut pas la peine.
Fais les choses étapes par étapes et habitue toi à mener à terme tes projets. De la même façon n’essaye pas de trop en faire d’un coup.
 

“Rien n’est vrai, tout est permis”, citation tirée du jeu Assassin’s Creed et qui résume un peu ma pensée.

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Test du micro cravate iRig Mic Lav de chez IK Multimedia

Il y a quelques années, il était difficile d’imaginer que l’on puisse venir plugger un micro cravate directement sur smartphone. Cela était parfois possible mais très onéreux et nécessitait un certain nombre d’adaptateurs. La promesse de l’iRig Mic Lav, c’est donc d’offrir un produit qualitatif et facile à utiliser. Alors, la promesse est-elle tenue ?

Qualité sonore
Pour ce test, je n’ai pas pu comparer la qualité sonore du micro avec un micro Shure ou encore un micro cravate Sennheiser. Toutefois, après quelques mois d’utilisation dans le cadre de vlogs, de podcasts et de reportages en mode mobile journalism, j’ai eu l’occasion de me faire une idée concrète de la qualité du produit. Selon moi, le iRig fait son travail, c’est à dire qu’il dispose d’une qualité sonore suffisamment qualitative à condition de savoir optimiser ses conditions d’utilisation. En effet, en télé par exemple, nous avons tendance à positionner le micro cravate à proximité du col de l’utilisateur. Hors, dans cette position, le son du iRig Mic Lav va avoir tendance à saturer rapidement. L’astuce consiste donc à le placer à une plus grande distance de la bouche, c’est à dire au milieu du torse. En revanche, si vous disposez d’une application qui vous permet de contrôler le gain audio, vous aurez juste à bien optimiser les réglages avant l’enregistrement et à bien surveiller les niveaux pendant celui ci.

Finition du produit
Le micro en lui même est plutôt bien pensé : ergonomique, facile à clipser. Un bémol toutefois sur la longueur du fil qui n’est parfois pas suffisante si vous souhaitez vous filmer en plaçant votre smartphone sur un trépied. Autre point intéressant, l’Irig Mic lav vous propose une sortie casque, convertible en entrée pour chaîner un deuxième micro iRig Mic Lav ’et la possibilité de chaîner 2 micros est très utile en configuration d’interview. Malheureusement, lorsque les 2 micros sont chaînés, vous ne pouvez plus avoir de retour audio. Cela est vraiment dommage car c’est lorsque vous êtes en configuration d’interview par exemple, qu’il est primordial de pouvoir vérifier que tout fonctionne bien, car souvent nous n’avons pas l’occasion de recommencer une interview une deuxième fois.

Enregistrement
 
 
 
Qui dit micro pour smartphones dit application mobile. Hors, j’ai été particulièrement déçu de l’application iRig Recoder car je trouve qu’elle manque d’ergonomie et de fonctionnalités. Certes, le micro peut être utilisé avec n’importe quelle application, mais étant donné que IK Multimedia s’est positionné en tant que spécialiste du matériel audio et vidéo pour smartphones, j’aurais aimé une application pensée pour l’enregistrement et la production de contenu audio. Du coup aujourd’hui, je préfère utiliser l’application du fabricant concurrent et parfois l’application dictaphone pré-installée sur l’Iphone.

Conclusion
Le iRig Mic Lav est un produit qui est aujourd’hui pour moi indispensable et qui fait partie intégrante de mon kit de vidéaste en mobilité. Même si la qualité sonore n’est pas équivalente à un micro cravate de chez Sennheiser, question qualité/prix il est sûrement un des plus intéressants que l’on puisse trouver sur le marché. Attention, ne vous méprenez pas sur le terme qualité/prix en pensant qu’il s’agit d’un micro bas de gamme. Disons que pour ce genre de matériel, il est plus qu’abordable au vu du résultat. Bien sûr, il existe des micros cravate made in china moins chers (à partir de 10€), mais je ne peux vous les recommander aujourd’hui. Je ne les ai pas testés et je doute de leur optimisation pour un usage avec un smartphone. Vous l’aurez compris, je vous conseille donc le iRig Mic Lav que ce soit en micro individuel ou en pack duo.

Lien vers les produits : 

iRig Mic LAV

iRig Mic Lav pack Duo

La nécessité de s’éloigner des gens nocifs

Ce billet va être un peu particulier puisqu’il va traiter de la nécessité de s’éloigner des gens toxiques dans ta vie.

Nous avons tous connu ce type de personnes et il est souvent difficile de s’en détacher pour la simple et bonne raison qu’ils savent tirer sur la corde sensible.
En effet, ils arriveront avec facilité à te faire culpabiliser et à te faire passer pour un monstre auprès de vos relations communes. Le problème c’est qu’au fond, si tu es sensible, tu craques et tu renonces à agir. Qu’il fassent partie de ton cercle familial, amical ou professionnel, ces personnes sont les sangsues à ton bonheur et à terme, les conséquences pour toi peuvent être dramatiques.
Comme tout parasite, il est souvent difficile de s’en débarrasser par peur de blesser la personne ou de passer pour le connard de service.
Pourtant parfois, il faut juste arrêter d’être trop gentil et être un connard mec sincère.
Pourquoi ? Parce que même si toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire, il est important d’être sincère avec soi-même. De mon point de vue (purement subjectif), la seule question à te poser c’est : “Ai-je fait le nécessaire pour aider cette personne ?” “Suis-je en accord avec mes valeurs ?” “Si oui, c’est alors que je ne peux tout simplement rien faire de plus et il est donc nécessaire de prendre mes distances”.

La vérité, c’est que si vous ne faites pas ça, vous serez juste une victime collatérale des problèmes de cette personne et vous sombrerez ensemble.
Une autre vérité, c’est qu’en prenant tes distances, tu lui rends potentiellement service. Cela peut avoir une réaction positive sur elle, la poussant à agir pour se sortir de sa situation. Puis, il est également possible que tu ne sois pas la bonne personne pour lui venir en aide et le fait de prendre tes distances lui permettra de rencontrer la personne qui changera sa vie.
J’ai été régulièrement confronté dans ma vie à ce type de personnes, que ce soit dans le monde professionnel ou dans ma vie personnelle et ce que je peux dire, c’est que malheureusement, malgré le fait que tu sois particulièrement bienveillant et patient, tu te rendras compte que ces personnes répètent un schéma en boucle et que temps qu’elles n’auront pas travaillé sur elles-même, tout ce que tu feras en les aidant à chaque fois qu’elles le demandent s’apparentera à donner un Doliprane à un patient souffrant du cancer. Cela ne lui fera pas de mal, mais ça ne l’aidera pas à guérir non plus.

Alors que faire ?
 
Solution numéro 1 : faire le tri, appliquer la règle 20/80 dans les relations en règle générale. Accorde de ton temps à ceux que tu estimes et qui sont bénéfiques pour toi.
Solution numéro 2 : Dites-lui ce que vous ressentez avec sincérité et affirmez votre position, ne cédez surtout pas à toute tentative de manipulation.
 
Solution numéro 3 : si vous ne souhaitez pas vous confronter à la personne directement, utilisez des moyens de communication autres, de préférence un mail ou un courrier. Essayez d’éviter les SMS et les messageries instantanées car la personne aurait plus de facilités à vous répondre et vous pourriez, au fil de la discussion, céder. Dans votre courrier, n’hésitez pas à faire part des bons sentiments que vous avez envers la personne : ex. : “Sache que tu es quelqu’un qui a compté” ou “Soit certain de mon amitié envers toi”. Puis, parlez de ce qui motive cette prise de distance.
 
“Aujourd’hui je ressens le besoin de prendre de la distance et de recentrer sur ma vie, j’ai tout simplement besoin de me ressourcer. Sache que j’ai sincèrement fait au mieux pour t’aider… Je ne pense plus être la personne qui puisse te venir en aide, etc.
 
Enfin, n’hésitez pas à conclure avec sincérité, tout en souhaitant le meilleur.
 

: “Je te remercie pour cette amitié, et bien évidemment, je souhaite que les choses s’arrangent pour toi, disons tout simplement que je te souhaite le meilleur pour l’avenir.”

 
 
 
À noter que cela fonctionne également dans un contexte professionnel : “Je vous remercie de nous avoir fait confiance dans le cadre de ce partenariat” etc.
 
 
 
Ou si c’est votre employeur :
 
“Je vous remercie de m’avoir fait confiance, en m’offrant cet emploi…”
 
 
 
Attention, il est vraiment préférable de ne pas exprimer de mauvais sentiments envers la personne ou l’entité à laquelle vous vous adressez, le mieux étant d’essayer d’exprimer votre souhait de prendre de la distance tout en pensant aux bons moments que vous avez pu partager. Cela vous aidera à prendre de la distance sereinement et peut vous éviter de faire face à un malaise si vous recroisez la personne en question.

Dernière chose importante avant de conclure ce billet, sachez que vous êtes peut-être vous même une sangsue pour un collègue, votre fils ou un ami. Essayez alors de ne pas envahir l’espace vital et la sérénité des gens que vous côtoyez. Si quelqu’un vous le reproche, ne réagissez pas mal et essayez de prendre un peu de distance. C’est pour cela que j’insiste sur le fait de rester courtois et de ne jamais mettre fin à une relation de manière conflictuelle. Les gens ne font pas forcément exprès de vous envahir. En revanche, une fois que vous avez décidé que vous aviez besoin d’espace, agissez et ne faites surtout pas marche arrière.
Ayant lu dernièrement le récit biographique des aventures de Mike Horn et de son ascension des plus hautes montagnes du monde, une chose m’a surpris. Mike Horn expliquait qu’à plusieurs reprises lors de ses ascensions, il avait croisé des alpinistes à bout de forces, condamnés à mourir sur les hauteurs de la montagne. Quel a été sa réaction à chaque fois ? “Puis-je l’aider sans risquer ma vie ?”

Vouloir toucher les étoiles, by Mike Horn

Vouloir toucher les étoiles
À travers “Vouloir toucher les étoiles”, Mike Horn nous offre le récit de l’un des plus gros challenges de sa vie : celui de l’ascension des montagnes les plus hautes au monde.
Depuis quelques temps, je m’intéresse passionnément à ces explorateurs et aventuriers de l’impossible que sont Mike Horn, Ed Stanford ou encore Jean-Louis Étienne.
La question qui vous vient alors à l’esprit et pourquoi et surtout, quel rapport avec les thématiques que je traite habituellement sur ce blog ?
En premier lieu, je dirais que Mike Horn et ses confrères démontrent que rien n’est impossible, forçant l’admiration. En second lieu, bien qu’aventuriers ou sportifs de l’extrême, ce sont à mes yeux avant tout des entrepreneurs à l’instar d’un Steve Jobs. En effet ils entreprennent à leur façon même s’ils ont des objectifs certes bien différents des startuppers de la Silicon Valley.
Ce qui est intéressant dans ce récit c’est de comprendre comment devient-on un Mike Horn. Qu’est ce qui peut expliquer qu’un homme traverse les pôles, fasse l’ascension des plus hautes montagnes de la planète au péril de sa vie, est-ce de l’insouciance ou une drogue ? Ce qui est sûr, c’est que par le biais de ce récit on apprend que Mike Horn depuis son enfance a toujours éprouvé le besoin de découvrir le monde et d’être libre.
Je pense également qu’il a à s’épanouir grâce à son éducation suffisamment strictes pour le guider sur le droit chemin, tout en lui laissant une certaine liberté qui fut responsabilisante pour lui. (???) D’ailleurs, il y a certain passage de ce livre qui montre à quel point son père avait une façon atypique et admirable d’éduquer son fils.
 

Extrait 1 La liberté

Extrait 2 La scène du vélo

Un homme comme les autres
 
Alors jeune adulte, Mike connaîtra deux passages déterminants qui lui permettront de prendre conscience de certaines choses.
La première est la mort de son père, qui pour lui était son héros, sa source d’inspiration. Le second passage correspond à son intégration des forces spéciales sud africaines pour son service militaire obligatoire. Pendant cette période (l’Afrique du Sud était alors en pleine guerre contre l’Angola), il apprendra à survivre, à se dépasser mais également des savoir faire qui lui seront utiles dans le cadre des ses explorations futures (pistage d’un animal, ou d’un ennemi).
Ces deux événements ont un point commun : ils ont confronté Mike Horn à la mort, que ce soit celle de son père mais également à celle de certain de ses compagnons d’armes. Ces événements sont déterminants, ils lui ont permis de comprendre qu’il devait impérativement suivre ses rêves, on n’a qu’une seule vie et elle est courte.
 

Un entrepreneur comme les autres ?
Après l’armée, Mike Horn est revenu sur les bancs de l’école pour décrocher un diplôme de commerce et a rejoint le business de son oncle dans le commerce des fruits et légumes. Cela lui a permis d’avoir un poste avec des responsabilités importantes tout en lui faisant gagner de l’argent.
Pourtant, le manque de liberté et l’idée de passer sa vie dépendant de choses qui n’ont que peu d’importance quand on n’est pas un matérialiste vont le forcer à prendre une des décisions qui est certainement l’une des plus courageuses quand on possède tout : tout abandonner, faire un “reset” de sa vie.
 

Entreprendre avec passion
Je vous parlais plus haut dans cette critique que Mike Horn est un entrepreneur comme les autres. Bien que le livre soit peu développé sur comment Mike Horn a réussi à atteindre une indépendance financière tout en vivant sa passion. Certains passages évoquent notamment son lien avec ses sponsors, ou comment il a levé des fonds pour un projet caritatif qui avait pour but de permettre à des adolescents de toutes nationalités d’être sensibilisés à l’écologie, tout en découvrant des lieux hors du commun.
À travers ce livre, on comprend que aussi que Mike Horn ne s’intéresse pas lui-même à sa popularité et ne gère pas directement les aspects liés à sa communication, ses sponsors et un cercle restreint de ses proches s’en occupent pour lui.
C’est pour cela que Mike Horn est aujourd’hui un des aventuriers les plus connus de la planète, ses exploits ne suffisent pas s’il y a personne pour en parler. (???)
 
 
 
 

 
 
Pour résumer

À travers “Vouloir toucher les étoiles”, Mike Horn nous partage son aventure de l’ascension des plus hautes montagnes. Les moments qui ne concernent pas les ascensions à proprement parler (enfance, carrière, projets annexes, notoriété, etc.) sont les moments que j’ai personnellement préféré.

Toutefois, les récits des ascensions, bien que par moments répétitifs, sont parfois poignants et nous dévoilent la réalité de ses expéditions. Depuis que Mike Horn passe à la télé, on nous laisse croire qu’il s’agit de survie. En réalité, il s’agit d’aventure soft.
À travers ce livre, nous découvrons la réalité de ses expéditions qui sont souvent fatales pour ces aventuriers de l’extrême, plusieurs protagonistes et confrères de Mike Horn ont connu la mort dans l’une de ascensions. J’ai la certitude que la philosophie de Mike Horn, la façon dont il appréhende le risque et sa façon de vivre passionnément, ne peuvent être qu’inspirantes et pleines de leçons pour les entrepreneurs que nous sommes.

Biographie de l’auteur
Né en 1966 à Johannesburg, Mike Horn obtient un diplôme de science du mouvement humain à l’université de Stellenbosch. Il quitte l’Afrique du Sud en 1990, pour voyager en Europe où il travaille d’abord en tant qu’instructeur de ski et guide de rafting et canyoning. Depuis, il multiplie les exploits inédits. Il a descendu l’Amazone à la nage, a fait le tour du monde en suivant la ligne de l’Équateur, a marché le long du cercle polaire arctique, et a bravé la nuit hivernale pour rejoindre le Pôle Nord. Il raconte ces aventures dans ses livres : Latitude Zéro (2001), Conquérant de l’impossible (2005) et Objectif : Pôle Nord de nuit (2007), tous parus chez XO Éditions. Il est parti en 2008 pour un tour du monde qui lui fera traverser tous les continents en quatre ans, sans aucun moyen de transport motorisé. Mike Horn est père de deux filles.
 
 
 

 

 
 On ne grimpe qu’une fois la montagne de la vie. Il faut savoir vivre ses rêves.  »
Mike Horn est un aventurier de l’extrême connu dans le monde entier pour repousser les limites du possible. Il a descendu l’Amazone, suivi la ligne de l’équateur, traversé la longue nuit polaire. Il a marché sur la glace, parcouru le désert, descendu des rapides, frayé son chemin dans la jungle.

Jusqu’à ce pari fou : gravir, avec trois amis, quatre 8 000 mètres à la suite dans l’Himalaya. Sans oxygène, sans cordes, en  » style alpin  » le plus pur, à la seule force de la volonté…
Pour la première fois, ce conquérant de l’impossible se dévoile. Il nous parle de ses motivations profondes, de ses inspirations et de Cathy, sa femme, sa croix du Sud, récemment emportée par la maladie et dont l’esprit accompagne chacun de ses pas.

 

 

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Le Meizu pro 7 est-il le meilleur smartphone pour le mobile journalism ?

La firme chinoise Meizu annonce son nouveau smartphone Meizu Pro 7, premier smartphone haut de gamme à intégrer 2 écrans couleurs.
Si j’ai souhaité vous parler du dernier né du fabricant chinois Meizu, c’est bien évidemment parce qu’il propose 2 écrans couleurs. Le premier écran est l’écran principal du téléphone, il mesure 5, 2 pouces et dispose de la technologie Super Amoled avec une résolution de 1920×1080 pixels. Le second écran, situé au dos de l’appareil, mesure quant à lui 1,9 pouces et est équipé de la technologie Amoled pour une résolution de 240×536.
Le premier écran, avec sa résolution plus que correcte et son écran de bonne facture, assurera un bon confort pour tous vos divertissements, et bien évidemment pour effectuer quelques tâches professionnelles. Grâce au processeur Helio P25 et ses 4 GB de RAM, on  peut imaginer que monter des vidéos directement sur le smartphone devrait s’envisager.

Le second écran
Le second écran sert, entre autre, à prévenir l’utilisateur quand il reçoit une notification. Il permet également de consulter l’heure ou la météo, mais ses applications restent à priori encore peu développées.
En ce qui me concerne, cela a peu d’importance. Ce qui m’intéresse, c’est qu’il permet de prendre des selfies avec le capteur arrière du téléphone, généralement de meilleure qualité que celui en façade. La question est donc de savoir si le second écran fonctionne également en mode vidéo. Si c’est le cas, alors nous venons de trouver un excellent produit pour les  journalistes MOJO et autres vidéastes adeptes de mobilité. Malheureusement, les smartphones sous Android sont généralement moins stables pour les fonctions d’editing de vidéos, cela s’explique par le fait qu’une application développée pour un smartphone Android est déployée généralement sur une grande variété de smartphones (Android) d’entrée, de moyenne et de haut de gamme.

Les capteurs photo/vidéo
Le Pro 7 est équipé de deux capteurs photo Sony IMX386 (12 MP). À l’instar du Huawei P10 ou encore du Galaxy Note 8, le Pro 7 dispose d’un capteur couleur et d’un second capteur noir et blanc.La combinaison de ces capteurs permettra de prendre des photos avec un effet Bokeh (effet de flou en arrière plan) ou de véritables photos directement en noir et blanc. À noter qu’il est également équipé d’un capteur en façade de 16 MP.
Le Meizu Pro 7 sera potentiellement un excellent smartphone pour le vlogging et les vidéos lives Facebook par exemple. Toutefois, en attendant que je le teste, je ne peux pas vous confirmer que l’écran arrière fonctionne en mode retour vidéo lors d’une diffusion en live.
Par le biais de ce second écran, Meizu offre de nouvelles possibilités qui pourraient inspirer les constructeurs de smartphones et je l’espère, potentiellement Apple. L’autre seule solution qui nous permettrait de disposer d’un smartphone idéal pour les MOJO serait de les équiper d’un capteur photo en façade aussi puissant que les capteurs principaux se trouvant généralement au dos.
Affaire à suivre
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

Dossier Just do it, Chapitre 4 : Que ferais-tu si tu n’avais pas peur ?

Rationaliser sa peur pour mieux la contrôler. Il est normal d’avoir peur, mais n’oublie pas que nous avons appris à avoir peur. Nous sommes passés du stade pendant notre enfance de l’insouciance à celui de la conscience du risque. La peur n’est qu’un mécanisme irrationnel ayant pour but de nous protéger. Elle est l’objet d’une partie animale qui subsiste en nous. Attention, je ne dis pas que la peur est inutile. Je dis simplement que nous avons développé trop de peurs et que souvent, nous avons tendance à développer de nouvelles craintes au fur et à mesure que nous prenons de l’âge. Cela est notamment dû au poid des responsabilités qui nous incombent.

La peur est souvent irrationnelle. Si tu couches sur papier les risques réels, si jamais tu te décidais à aller jusqu’au bout de tes idées, tu te rendrais compte que souvent nous exagérons le risque et qu’aucune des conséquences n’est irréversible.
Bien évidemment, je ne suis pas là à te dire de quitter ton travail, ton logement et de tout parier sur l’écriture de ton roman. Je ne suis pas en train de te dire “Lance ta propre émission !” si tu es trop timide pour répondre au simple bonjour de ta boulangère. Non, l’idée ici est de définir quel est ton objectif et dessiner une sorte de route avec des points relais jusqu’à celui-ci.
Si tu souhaites devenir photographe globe-trotter à plein temps mais que tu ne connais rien à la photo, essaye de déterminer les lacunes qui empêcheraient de le faire. Par exemple, je suis nul en anglais, je ne connais rien à la photo, j’ai peur de voyager seul, etc.

Tes points relais qui dessinent la route vers ton objectif seront surement alors :

Prendre des cours d’anglais et essayer d’introduire cette langue dans mon quotidien (ebook, podcasts, film en vo etc..)
Me procurer un appareil photo, m’inscrire à des mini stages, m’inscrire à des cours ou encore apprendre avec des tutoriels la photographie sur internet
Chercher des groupe Facebook, des forums sur les globe-trotters, faire des mini séjours en France pour s’habituer et participer à des événements communautaires sur cette thématique

Le plus important est de se créer une map pour toujours avoir en tête les différentes étapes vers ton objectif final.
Deuxième chose : te fixer des objectifs cruciaux mais simples à accomplir. Bien évidemment, si tu travaille et que tu veux apprendre l’anglais en 1 mois, cela va être compliqué. De la même façon si tu te fixes comme objectifs de savoir tenir une conversation en anglais dans 1 an, mais que tu ne définis pas comment, de manière quotidienne ou hebdomadaire, tu vas procéder pour atteindre cet objectif. Le fait que l’objectif soit lointain va t’amener à procrastiner et tu finiras par au final le reporter indéfiniment ou l’abandonner.

Dans le même état d’esprit, voici d’autres exemples :

Tu souhaites écrire un roman : fixe toi comme objectif d’écrire une page par jour
Tu souhaites lancer ton blog : écris 1 à 2 articles par semaine
Tu veux vaincre ta timidité : commence à enregistrer un podcast audio hebdomadaire où tu parles de ce que tu veux et diffuse le sans le retoucher.

J’aimerais revenir sur l’une des peurs majeures citées plus haut dans ce dossier, c’est celle de recevoir des critiques négatives. Première chose à savoir, c’est que souvent ceux qui formulent des critiques de ce type là sont des personnes qui sont soumises aux mêmes peurs que toi et c’est ce qui les empêchent elles-mêmes d’accomplir leurs rêves. Ensuite, un créateur ou un entrepreneur préférera toujours t’encourager ou te formuler une critique constructive afin de t’améliorer. Mais rappelle toi, ce n’est pas parce qu’on te dit que c’est nul que ça l’est vraiment. Regarde les émission du type ONPC sur France 2 et tu verras que même les plus grands artistes et intellectuels font rarement l’unanimité. Sache que plus tu auras d’audience et plus tu auras de critiques, cela va de paire. Donc fort de ce constat, autant s’habituer à ne pas trop les prendre en compte.
Comme nous arrivons à la conclusion de ce dossier, je me permets de me répéter un peu pour te dire vraiment que ce qui compte, c’est quel est ton leitmotiv. Si tu souhaites faire ton court métrage, fais le peu importe les critiques. Si tu souhaites écrire ton roman, fais le pareillement.
Surtout, n’écoute pas les gens qui te disent que c’est impossible. Si on avait écouté ce genre de personnes, les voitures n’existeraient pas, internet non plus, nous n’aurions jamais envoyé des hommes sur la Lune. Ces personnes ne sont pas méchantes, elle transposent juste leurs propres angoisses sur toi. Petit conseil également, entoure toi de créatifs, d’entrepreneurs, de rebelles et d’audacieux car leur enthousiasme et leur positivité pourrait déteindre sur toi.
N’espère pas devenir une superstar. Si par chance cela arrivait, tant mieux mais fais avant tout les choses pour toi et parce que cela te rend heureux.
Attention également à ne pas te prostituer (faire du contenu sans valeur ajoutée) pour satisfaire ton audience, cela n’en vaut pas la peine.
Fais les choses étapes par étapes et habitue toi à mener à terme tes projets. De la même façon n’essaye pas de trop en faire d’un coup.
 

“Rien n’est vrai, tout est permis”, citation tirée du jeu Assassin’s Creed et qui résume un peu ma pensée.

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